Mauvaises herbes
Il n’y a pas de mauvais enfants, ni de mauvais hommes, il n’y a que de mauvais «cultivateurs», pensait Victor Hugo en créant le profil psychologique de Jean Valjean, personnage clé de son roman Les Misérables : « Il n’y a ni mauvaises herbes, ni mauvais hommes, il n’y a que de mauvais cultivateurs ! »
Quel plaisir aussi bien pour nous autres qui partageons son humanité et son romantisme, que pour ceux qui ne peuvent (encore) le faire, que de (re)découvrir Catherine Deneuve et André Dussolier dans le film de Kheiron «Mauvaises Herbes» disponible sur Netflix.
Bonne rentrée !